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30.05.23Des sols en bonne santé
30.05.23Des sols en bonne santé
pour affronter les sécheresses de l'été. Pour le Jura et le Jura bernois, le projet TERRES VIVANTES a mesuré que les sols n'y sont pas tassés et que la porosité est bonne. Par contre, le ration "matière organique sur les argiles" est faible.
Plus le rapport "matière organique - argile" est élevé, plus les agrégats du sol sont fins et de qualité, plus la porosité est bonne, plus la réserve en eau est durable et moins il faut de mécanisation pour faire un bon lit de semences. La charrue, c'est comme les antibiotiques, elle ne doit pas être automatique.
La qualité du sol : clé de voûte pour supporter les aléas climatiques?
Face au manque de précipitations à l'été, il est essentiel que la réserve utile en eau soit au maximum de sa capacité, pour la saison où le stress hydrique est à son comble. Trois paramètres jouent un rôle primordial dans ce rôle stockage-restitution de l'eau: la granulométrie (c'est-à-dire la proportion d'argile-limon-sable), la porosité et sa connectivité, finalement la quantité et la qualité de la matière organique du sol.
Il est évidemment impossible de jouer sur la granulométrie d'un sol. Nous héritons d'un patrimoine et nous devons le valoriser au maximum. A ce stade de compréhension, ce qui est intéressant de relever, c'est que dans un sol humide, il sera plus simple pour une racine de s'alimenter, s'il contient beaucoup de sable plutôt que de l'argile. Autrement dit, un sol argileux retient très bien l'eau, mais cette dernière est peu accessible aux plantes.
En ce qui concerne la porosité et sa connectivité, pour faire schématique, il y a trois grands types de "tubes" :- Ceux qui sont grossiers et larges qui permettent d'évacuer rapidement l'eau. Ce sont les galeries de vers de terre ou encore les interfaces entre les mottes. L'eau qui y circule n'est pas utilisable à long terme par les plantes, mais cette porosité est essentielle pour évacuer le surplus d'eau, afin que les racines soient oxygénées. C'est elle qui perment également d'éviter les flaques en surface.
- A son opposé, il y a la porosité fine. L'eau y est tellement intime avec le sol que la force de succion est trop importante pour qu'elle soit disponible pour les plantes.
- Entre deux, la porosité médiane participe à la "réserve utile en eau". Le stockage y est plus ou moins durable, mais sans que la racine ne doive mettre trop d'énergie pour la prélever. Cette porosité moyenne se trouve au sein même des agrégats, autrement dit, des mottes de terres.
Cependant, la taille des "tubes" n'est qu'un paramètre. Encore faut-il qu'ils soient connectés ensemble, pour qu'ils puissent avoir des échanges et jouer pleinement leur rôle. C'est là que le travail du sol estival peut avoir des effets non souhaités.
En passant un outil, type déchaumeur, nous allons remobiliser temporairement de l'eau en cassant les mottes. En parallèle, nous allons supprimer le lien entre la partie foisonnée et le sol sous-jacent. Cela signifie que si les pluies n'arrivent pas, le sol travaillé va s'assécher de manière problématique, car l'eau du sol ne pourra plus humecter la surface.
Le tassement joue également un rôle néfaste sur la porosité. Plus la porosité est grossière, plus elle sera impactée par le poids des machines. Cependant, il est plus facile de recréer de la macroporosité que de la mésoporosité. Il est donc essentiel de garder la "tuyauterie" du sol la plus ouverte et diversifiée possible, ainsi que connectée. Pour l'anecdote, plus de cinq tonnes sur l'essieu d'une machine agricole tassent le sol de manière quasiment irréversible, à des profondeurs inférieures à quarante centimètre. Cela signifie que toute la profondeur en-dessous de 40 cm peut devenir parfaitement inutilisable par les plantes.
Finalement, les matières organiques jouent un véritable rôle d'éponge. Il est impossible de parler des matières organiques de manière simple sans y passer des heures. Cependant, il y aune relation facile à mesurer et scientifiquement validée : le rapport entre le taux de matière organique et le taux d'argile. Lors des analyses de sols dans les cadre des prestations écologiques requises, demandez une vraie analyse de la granulométrie et de la matière organique (pas une évaluation visuelle). Si le rapport cité précédemment se trouve en-dessous de 12 %, votre sol est en souffrance et ne fonctionne pas. entre 12 % et 17 %, la vulnérabilité du sol est importante. Entre 17 % et 24 %, votre sol fonctionne plutôt bien. Au-delà de 24 %, votre "patrimoine sol" vous offre son plein potentiel.
Ce qui est intéressant dans cette relation entre le taux de matière organique et le taux d'argile, c'est qu'elle reflète également la qualité de la structure, c'est-à-dire de la taille et l'organisation des mottes.
Plus le rapport "matière organique - argile" est élevé, plus les agrégats du sol sont fins et de bonne qualité, plus la porosité est bonne, plus la réserve en eau est durable et moins il faut de la mécanisation pour faire un bon lit de semences.
A travers le projet "Terres Vivantes", il a été calculé que chaque % de matière organique en plus dans le sol permet de stocker 7-5 mm d'eau en plus, qui sera utilisable pour les plantes.
Il est essentiel que le sol puisse donner son plein potentiel pour faire face aux aléas climatiques. Pour se faire, il faut le nourrir et le soigner. L'agriculture dite de conservation apporte des pistes de mise en oeuvre pour y parvenir.- Pertuber le sol le moins possible. Afin de limiter la minéralisation des matières organiques, préférer un travail du sol superficiel et modérer les actions de retournements.
- Couverture végétale la plus pérenne possible tout au lont de l'année. Le sol reste ainsi vivant et travaille toute l'année.
- Les engrais de ferme "grossiers" tels que le fumier ou le fumier composté nourrissent le sol à l'image de la litière dans les forêts. De manière trop simpliste, les lisiers ou digestats liquides sont des engrais et ils favorisent la croissance des plantes. A contrario, les fumiers ou fumiers compostés sont des amendements et profitent au sol.
En résumé, il est essentiel que nos sols agricoles aient un rapport entre le taux de matière organique et le taux d'argile de 17 % au minimum. Il faut tant que possible éviter les machines trop lourdes. Il faut couvrir et nourrir le sol en matières organiques et ne pas trop perturber sa surface.
La charrue, c'est comme les antibiotiques, elle ne doit pas être automatique.
Dans quel état sont les sols de notre région ?
Dans le cadre du projet "Terres Vivantes", de nombreuses données de sols ont été récoltées pour l'ensemble de la région. Il a été mesuré que les sols n'y sont pas tassés et que la porosité moyenne est bien présente. Par contre, le ratio "matière organique sur les argiles" est faible (seulement 14 %), comme dans toute la Suisse.
Les sols sont donc actuellement vulnérables et n'ont pas la capacité à donner le meilleur d'eux-mêmes en cas d'extrêmes climatiques. Il est donc essentiel d'augmenter le taux de matières organiques dans nos sols. -
20.04.23RESTAURANT DE COURTEMELON OUVERT AU PUBLIC
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Notre restaurant est ouvert au grand public tous les midis : faites-le savoir autour de vous. Une cuisine innovante et du Terroir. Nouvelles offres pour les groupes, apéritifs, mariages, salle 180 places, terrasse, Jardins de Courtemelon, Maison du paysan, etc. Contact : thierry.gelineau@frij.ch T 032 545 56 80.
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23.03.23Exposition "Lait & fromages"
23.03.23Exposition "Lait & fromages"
du 24 mars au 26 mai 2023 : Fromagerie des Franches-Montagnes, Rue de l'Avenir 2, 2340 Le Noirmont. Tous les jours, sauf lundi, selon les heures d'ouverture du magasin. Magasin des fromages de la région.
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20.02.231kg de fraises importé = 5l de pétrole!
20.02.231kg de fraises importé = 5l de pétrole!
Les fraises suisses de saison, 0.2 litre. Selon le 1er sommet Suisse sur le système alimentaire, seule une taxe sur ce CO2 inutile permettrait de stopper cela. Cette nouvelle posture va changer la façon des suisses de se nourrir et même la politique des paiements directs. Les paysans du pays auront un grand rôle à y jouer.
Expliquer et vendre les atouts de nos produits durables : une opportunité pour nos productions et cultures alimentaires, dans lesquelles nos agriculteurs sont bien formés, agiles et dynamiques.
Début de la faim ? Les citoyens se mobilisent
Luca Piccin : Vous avez participé la semaine dernière aux côtés de Guy Parmelin et 80 citoyens choisis au hasard au premier sommet suisse. Que pouvons-nous en attendre sur nos fermes ?
Luca Piccin : Oui, le 2 février 2023 s'est tenu à Berne le premier Sommet Suisse sur le système alimentaire. Près de 300 représentants d'organisations agricoles, industrielles, environnementales et de consommateurs ont rencontré des scientifiques et décideurs pour discuter de l'avenir du système alimentaire suisse. La conclusion du sommet : une transformation gagnant-gagnant du système alimentaire qui sert à la fois l'environnement, les producteurs et la population est possible. Pour y parvenir, des mesures concrètes doivent être prises rapidement tout au long de la chaîne de valeur, en ligne avec les objectifs glovaux de développement durable (ODD).
On veut donc taxer le CO2 contenu dans certains aliments ?
Luca Piccin : Oui, c'est l'une des options. Ce que l'on ne veut plus voir dans nos étalages, ce sont plutôt ces produits qui ont voyagé à travers le monde. Une viande de St-Ursanne, oui, un boeuf d'Uruguay avec des portions de 400g par personne au restaurant, non ! Mais tout cela est complexe : une pomme suisse stockée jusqu'en juillet dans nos chambres froides peut potentiellement nécessiter plus d'énergie que de l'importer ! Finalement, cela devrait mettre en valeur la production de saison, régionale et suisse basée sur les herbages.
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Luca Piccin "1 kg de fraises de la région, acheté en saison (mai, juin, juillet), nécessite 0.2 litre de pétrole. S'il est produit outre-mer et qu'il est transporté en avion, il faudra 4.9 litres de pétrole, soit 25 fois plus". Selon les représentants des consommateurs présents à Berne "Seule une taxe sur le CO2 inutile permettrait de stopper cette aberration environnementale".
Olivier Boillat "Cette nouvelle posture va changer la façon des Suisses de se nourrir et même la politique des paiements directs. Les paysans du pays auront un grand rôle à y jouer, en partant des nouveaux besoins des consommateurs : il faudra expliquer et vendre les atouts de nos produits durables. Je le vois comme une opportunité pour nos productions laitières et de viandes à partir d'herbages, les cultures alimentaires et autres domaines dans lesquels nos agriculteurs sont bien formés, agiles et dynamiques pour encore mieux remplir ce rôle nourricier et entreprenarial".
Experts et citoyens s'accordent-ils sur des recommandations politiques ?
Luca Piccin : En préparation du sommet, un groupe d'experts scientifiques et une "Assemblée de citoyens" ont élaboré, de manière indépendante, des recommandations détaillées pour l'élaboration d'une politique alimentaire durable. Le groupe d'experts a analysé les domaines dans lesquels il est le plus nécessaire d'agir et la manière dont les leviers doivent être actionnés pour atteindre les objectifs sociétaux. Les recommandations de l'assemblée citoyenne, quant à elles, montrent quelles mesures peuvent obtenir un soutien majoritaire au sein d'une population informée. Les deux processus sont arrivés à des conclusions similaires. Par exemple, les deux organes recommandent un soutien ciblé pour le passage à une production durable, tout en offrant des incitations à une consommation durable. En réduisant la consommation excessive de certaines viandes, le degré d'autosuffisance de la Suisse peut même être augmenté. Compte tenu des revenus souvent faibles dans le secteur agricole et alimentaire, un changement du système alimentaire doit également être conçu de manière à être socialement juste, jusque dans les revenus agricoles.
Peu d'avancées sans un engagement fort de la Confédération. Pour y parvenir, les responsables politiques doivent créer les conditions cadres nécessaires. Dans son discours de bienvenue, le Conseiller fédéral Guy Parmelin, responsable du secteur agricole et alimentaire, a souligné que les recommandations de l'"Assemblée des citoyens" et du "Groupe d'experts" coïncident avec l'orientation future de la politique agricole. Ce qui est très positif. Toutefois, le Conseil fédéral fixe l'horizon à 2050 et les mesures à moyen terme sont plutôt de nature cosmétique, par exemple : revoir la date limite de consommation des aliments. Au lieu de mettre entre parenthèses la transformation du système alimentaire, le sommet a rappelé que c'est maintenant qu'il faut agir, en commençant par intégrer les recommandations présentées dans le débat politique et en négociant une mise en oeuvre dans des délais plus courts avec les différents acteurs.
Les acteurs de la distribution doivent également agir ?
Luca Piccin : Les participants au sommet se sont accordés à dire que la production et la consommation ne changeront que si des mesures efficaces sont également mises en oeuvre au niveau de la grande distribution. Lorsque les citoyens, les scientifiques et l'administration parviennent indépendamment les uns des autres à des conclusions similaires, il est temps que le secteur de la distribution agisse lui aussi avec plus de cohérence. La durabilité de notre alimentation ne doit plus être positionnée dans le haut de gamme et devrait être à la portée de tous.Luca Piccin est membre du CEDD Agro Eco Clim
Propos recueillis par Olivier Boillat -
23.01.23Climat & Agriculture :
23.01.23Climat & Agriculture :
en 30 ans, on enregistre une augmentation de la température de 1,3°C. L'augmentation déjà observée jusqu'en 2020 va encore s'accroître d'ici la fin du siècle. Le nombre de jours avec de très fortes chaleurs sur les mois d'été sera de plus en plus important.
Le cyle du carbone joue un rôle important, notamment par sa présence dans les gaz à effet de serre. Mais l'ensemble des cycles essentiels à l'agriculture (eau, azote, et.) est concerné de près ou de loin. Dans l'agriculture, de nouvelles opportunités émergent avec l'allongement de la période de végétation, alors que de nouvelles contraintes s'imposent par exemple au niveau de l'affouragement du bétail et de la gestion de l'eau. Les sciences et la société interrogent également les pratiques et leurs impacts. La politique, la profession et l'individu devront faire des choix importants, afin que les comportements soient en phase avec ce nouveau contexte. Dans le cadre du projet Interreg SPAD, une analyse décrivant l'évolution du climat des années 1991-2020 à partir des années 1961-1990 a été effectuée. Ces deux périodes sont comparées aux projections climatiques les plus pessimistes, mais aussi les plus réalises au regard des dernières années pour la période 2071-2100. Quelques données de la station météo de Delémont sont décrites ci-dessous. Il s'agit de moyennes sur 30 ans. Même si on ne peut l'observer dans les graphiques présentés, le nombre d'années avec des épisodes climatiques extrêmes s'accentue.
Evolution des températures moyennes :
+ 1.3°C mesurés entre 1991-2020
+ 4.8°C projetés entre 2071-2100
Evolution du nombre de jours à plus de 30°C :
+ 14 jours mesurés entre 1991-2020
+ 40 jours projetés entre 2071-2100
Evolution des précipitations :
- 48 mm mesurés entre 1991-2020
+ 31 mm projetés entre 2071-2100
Evolution du nombre de jours sans pluie :
+ 0 jour mesuré entre 1991-2020
+ 8 jours projetés entre 2071-2100
Le niveau des précipitations reste en moyenne assez stable, mais avec de conséquentes variations interannuelles, comme déjà constatées. Les scénarii d'évolutions indiquent un déplacement des précipitations des mois d'été sur la période hivernale. La tendance montre aussi une augmentation du nombre de jours sans pluie sur les mois d'été. Comme déjà observé, il faut compter sur un avancement de la période de végétation au printemps et un allongement de celle-ci en automne, ainsi qu'un diminution du nombre de jous de gel. Attendu que la végétation démarrera plus rapidement au printemps, les jours de gels restants génèreront plus de dommages.
A retenir :- Comme déjà observé cette dernière décennie, l'augmentation entre juin et août du nombre de jours avec de fortes chaleurs, cumulée à une baisse de précipitations et à une augmentation du nombre de jours sans pluie auront le plus grand impact sur les pratiques agricoles actuelles.
- Les années 2021 et 2022 ont montré des oppositions marquées au niveau climatique. Les projections étudiées dans le cadre du projet Interreg SPAD montrent que l'année écoulée deviendra la norme et comme on peut l'observer plus haut, cela va même devenir plus extrême.
- Le niveau de précipitations sur les mois d'été 2022 (mai à août) à la station météo de Delémont est déjà en-dessous des scénarios les plus pessimistes à l'horizon 2100. Aussi, les températures moyennes, le nombre de jours sans pluie ou à plus de 30°C a déjà dépassé sur cette période les projections des années 2021-2050.
- Si l'année 2022 devait se confirmer en région de montagne, l'évolution du climat dans ces zones serait plus rapide que prévue. Nous vous proposerons une série d'articles dans les prochains numéros du Terrien interjurassien concernant ces thématiques, opportunités et contraintes du changement climatique pour les animaux, la production fourragère, les grandes cultures ainsi que sur nos comportements.
CEDD et FRI : Jérémie Forney, Luca Piccin, Luc Scherrer, Jocelyn Altermath
Propos recueillis par Olivier Boillat
- Comme déjà observé cette dernière décennie, l'augmentation entre juin et août du nombre de jours avec de fortes chaleurs, cumulée à une baisse de précipitations et à une augmentation du nombre de jours sans pluie auront le plus grand impact sur les pratiques agricoles actuelles.
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12.01.23Nous engageons en intendance
12.01.23Nous engageons en intendance
Inscriptions ouvertes pour l'Ecole des métiers de l'intendance : t'es motivé-e ? dynamique ? Inscris-toi dès maintenant ici pour débuter une formation dans l'intendance en août 2023. Contact : laurent.joliat@frij.ch, T 032 545 56 47. Renseignements : www.frij.ch
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19.12.22GAR : Groupes d'animation rurale
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Parallèlement aux séances et cours présentés dans son programme de formation continue, la FRI coanime 26 "Groupes d'animation rurale" avec 90 cours professionnels par hiver. Ils ont un ancrage local ou régional et dans la durée. Intéressé à créer ou rejoindre un GAR ? melanie.derivaz@frij.ch
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01.12.22La région du JU et du JB récompensée
01.12.22La région du JU et du JB récompensée
L'Office fédéral de l'agriculture et de le Secrétariat d'Etat à l'économie ont décerné le tout premier prix "Cercle Régional" à la région supracantonale du Jura et Jura bernois pour ses projets innovants liant agriculture, tourisme et alimentation durable.
Plusieurs projets en lien avec la FRI sont notamment salués : PDR Créalait, PDR Marguerite, Les chemins du BIO, Fromagerie des Franches-Montagnes, Systèmes de production agricole durable, etc.
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Production animale
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